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Séance du 10 janvier 2019

Ce soir, ça se régale sur un gros gâteau en buvant du bon cidre doux comme il faut, ça développe des compagnies ferroviaires sur le sol américain, ça tente de survivre dans un vaisseau plus si rassurant qu’avant, ça lutte pour gagner la course (ou parfois pour juste rattraper les autres) . Quel programme !! Voici Jouer (le vendredi soir à Ferrière) Club, le résumé de soirée – soixante seizième épisode.

Pour entamer la soirée, Audrey et Florent nous accueillent avec un énorme gâteau (digne d’Astérix mission Cléopâtre) et de bonnes boissons. On profite tellement qu’Audrey ne lance même pas son traditionnel : « Bon, on joue à quoi ? ».

Au final, nous nous divisons en deux groupes :

 

 

Aurore, Audrey, Benjamin et moi commençons par une partie des aventuriers du Rail. Les règles expliquées en 10 minutes, nous nous lançons à l’assaut des Etats Unis avec nos petits trains !!

Aurore et Benjamin scorent très vite et creusent l’écart en faisant des grands parcours mais Audrey et moi les rattrapons en fin de partie grâce à nos contrats réussis. Malgré tout, Benjamin remporte la partie avec une belle avance.

 

Nous enchaînons avec une course dans l’univers des fous du volant. Après quelques hésitations au niveau des règles (qui manquent un peu de clarté sur certains points), les tours se suivent assez rapidement et dans un dénouement de folie (Aurore est déjà sur la dernière case, Audrey me fait reculer, Benjamin rattrape enfin les autres, il y a deux pièges à déclencher) je remporte la coupe au grand dam de Satanas et Diabolo.

 

A côté, Grégor, Vincent, Julien et Florent s’attaquent à Némésis. Cette fois, la bête ne gagnera pas ! Enfin ils l’espèrent !!

La partie commence bien, les premières salles découvertes sont très pratiques et la situation semble être bien gérée. C’est sans compter la fourberie humaine.

Voici le témoignage de Vincent livré juste avant de s’écrouler après une nuit bien trop courte (je pense que le record de la session la plus longue a été explosé hier) :

« Oui en fait au moment d'hiberner, Julien nous a dit qu'il allait nous suivre mais qu'il devait avant buter la reine. C'était un beau mensonge puisqu'il devait en réalité me tuer ! Moi, Rambo, surnommé " six " ( et ouai en 2150 après JC , Jean-Claude j'entends, il y a eu 3 générations de Rambo dont l’espérance de vie est proche de celle des Norris) qui lui a sauvé la vie en stoppant son hémorragie et butant tout ce qui tentait de lui nuire...j'ai aussi filé plein d'objets à Florent le mécano bras cassé  pour qu'il s'échappe avec 7 objets ( objectif de collectionnite aigue). Gregor qui jouait le pilote a géré de façon furtive sa visite du vaisseau et n'a jamais menti, il a sur la fin fait confiance à Rambo en se jetant dans l'hibernatorium où se trouvait la reine. Rambo six avait un plan ultra stratégique et neuronal ( pour le qi moyen de rambo) Taser la reine et profiter de sa retraite pour hiberner Bref ... comme dans le film, le colonel est le traître ... définitivement dans ce vaisseau personne ... n'aimait six !

Pour finir, a 1 tour de la fin cerné de monstre Notre juju national devait rentrer dans la salle des moteurs sans faire de bruit (1 seule face du dé à 10 faces lui permettait cela, la face " x") et il l'a fait pouvant ainsi saboter le vaisseau pour ne pas mourir et échouer seul. Un capitaine abandonné star du "x" et spécialité des parties de faces à l'air.

Au même moment Florent à l'arrache car aux prises avec un alien et les mains pleines de breloques inutiles glanées pour satisfaire sa pathologique collectionnite parvient avec un brio qui nous laissa bouche bée à se barrer en nacelle pouvant enfin ... rouler des mécaniques

En regardant le feu d'artifice du vaisseau

De son hublot

Magnifique et très difficile victoire " se barrer avec 7 objets"

 

Quelle histoire et quel jeu !!

Voilà pour cette semaine.

On se retrouve vendredi prochain.

Bonne semaine et que René Coty soit avec vous.

Ciao

 

 

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