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  • Séance du 18 février 2022

    Ce vendredi nous sommes d’abord 5 au club.

    Nous faisons une partie de Mille Sabords. Dans ce jeu de dés, nous tirons d’abord une carte pirate qui peut être un bonus, une mission ou parfois un méchant malus (qui n’a pas rêvé d’avoir deux têtes de mort avant même de lancer ses dés pour la première fois ??) puis nous tentons de réaliser la meilleure combinaison possible. La partie s’arrête quand un joueur atteint les 6 000 points (ça peut paraître énorme mais on peut marquer assez vite des points, enfin surtout si on ne nous les fait pas perdre, merci Stéphane et son lancer de 8 têtes de mort !!!). Je remporte la partie avec Florent juste derrière moi.

         

     

    Aurore et Julien nous rejoignent et nous nous séparons en deux groupes.

    Aurore, Benjamin et Stéphane jouent à Jardin d’orient. N’ayant absolument rien vu de la partie, je ne peux que vous dire que le matériel est de toute beauté et que Benjamin a remporté la partie.

       

    Benjamin part ensuite, ne pouvant résister plus longtemps à l’appel de la pizza.

    Aurore et Stéphane terminent la soirée en jouant à Shotten Totem, enfin il me semble.

    Julien, Florent, Mike et moi partons dans les légendes celtiques avec le jeu Inis. Au programme : draft de cartes d’actions, prise de territoires, calcul de majorité, coups fourrés, …on ne s’ennuie pas chez les celtes ! Trois manières différentes permettent de gagner et chacun tente de tirer son épingle du jeu. Je remporte la partie en plaçant mes troupes sur 6 territoires différents et du coup je suis devenu roi de la Tribu de Dana !! Allez, tous avec moi "Dans la vallée oh oh de Dana Lalilala !" (Je vous mets la vidéo karaoké de la chanson pour que vous puissiez chanter devant votre écran).

    Voilà pour la semaine.

    On se dit à vendredi prochain et que René Coty soit avec vous !

     

  • Séance du 4 février 2022

    Hier soir au club, nous étions 9. Nous nous sommes divisés en 2 tables.

    Stéphane, Benjamin, Julien, Grégor et Florent se lancent dans une partie de Cyclades. Au cœur de la Grèce antique, les joueurs cherchent la bénédiction des Dieux et l’appui de monstres légendaires pour se développer plus rapidement que les autres et réussir à bâtir deux cités. Le jeu s’avère intense et plein de rebondissements puisque quand je suis parti Stéphane et Grégor étaient en très bonne voie pour gagner mais au final c’est Benjamin qui a raflé la mise !

       

     

    A côté, Aurore, Yvan, Vincent et moi commençons la soirée par Vol de nuit. Dans ce jeu coopératif, nous incarnons des membres de l’équipe de pilotage et nous tentons de traverser la nuit à bord de notre avion. Pour cela, nous jouons des cartes de mouvement en annonçant le cap et le type de déplacement (enfin si la jauge d’espoir est assez bonne). Pour un premier vol, on peut dire qu’on s’en est bien sortis, principalement, il faut bien l’avouer, grâce à l’extraordinaire gestion de Vincent. Clairement, vendredi, il y avait un pilote dans l’avion.

       

     

    Nous grillons ensuite nos cerveaux sur Codex Naturalis en tentant de placer nos cartes le plus judicieusement possible afin de marquer des points soit directement soit en fin de partie grâce à des objectifs. Yvan et moi luttons tout au long de la partie pour la première place mais mon objectif secret me permet de faire la différence.

       

    Voilà pour cette semaine.

     On se retrouve la semaine prochaine, d’ici là que René Coty soit avec vous !

  • Séance du 17 décembre 2021

    Ce vendredi, nous poursuivons les Coty d’Or.

    Grégor, Yvan et Florent construisent de belles mosaïques dans Azul. A chaque manche, les joueurs sélectionnent des carreaux qu’ils placent sur leur plateau afin d’optimiser le marquage de point. Grégor remporte largement la partie.

       

    Ils enchaînent ensuite avec The spécialist. Ici il faut recruter la meilleure équipe pour faire des casses dans tous les continents. On est clairement dans l’ambiance Océan eleven avec des dés et des cartes. La partie n’était pas terminée lorsque je suis parti, je ne peux donc pas vous dire qui a engrangé le plus de dollars.

       

    A côté, Benjamin, Mike et moi jouons à Iki. Ayant découvert le jeu, je peux enfin répondre à la lettre du membre de l’AMMPJ (Association des Meeples Malmenés Pendant le Jeu) reçue il y a 15 jours.

    Cher monsieur,

    Je me permets de vous répondre afin de mettre certaines choses au clair : les meeples de ce jeu ne sont pas plus malheureux que les autres.

    Certes, il arrive que certains ne mangent pas à leur faim mais avez-vous suivi le cours du poisson ? En plein été, il faut dépenser jusque 7 pièces pour avoir la chance de manger un poisson qui n’est pas très gros en plus !

    Et puis, les conditions de travail ne sont pas si mauvaises : j’ai vu plusieurs meeples partir à la retraite après avoir vendu seulement 6 paires de sandales ou même 3 pauvres morceaux de bois. Quand on pense que dans Charterstone, les meeples ne sont que deux pour gérer un village complet, il y a quand même une sacrée différence.

    Je terminerai par vous assurer que les joueurs font tout leur possible pour empêcher les bâtiments de bruler, n’hésitant pas à se ruiner pour placer leurs échoppes dans les lieux les mieux protéger.

    Bien cordialement

    Le dé, la carte et le meeple

    La partie est bien serrée et les stratégies complétement différentes. Je remporte la partie de peu.

       

    Nous continuons avec Chili dice, jeu de dés très sympathique présenté par Mike dans lequel chaque joueur possède 30 lancers de dés pour remplir au mieux sa grille de score. On peut donc choisir de lancer 10 fois les dés en un seul tour en sachant qu’il ne nous restera que 20 lancers pour le reste de la partie. Les faces rouges (le côté chili du jeu) rajoutent aussi un peu de piment en permettant de choisir la face du dé ou bien de doubler les points marqués. Là encore, je remporte la partie grâce à un dernier lancer à 100 points.

       

    Nous terminons par un Lucky numbers. En piochant des trèfles numérotés de 1 à 20 nous devons remplir notre grille en plaçant en respectant l’ordre croissant. Mike gagne la partie.

       

    Voilà pour la semaine.

    A bientôt pour de nouveaux jeux (encore sûrement une séance pour les Coty d’Or).

    Joyeuses fêtes de Noël et que René soit toujours avec vous.

  • Jonathan et Florent

    Je continue les interviews et ce week-end Jonathan était présent à l'animation pour le Téléthon et j'en ai profité pour lui poser les mêmes questions même s'il ne présente pas officiellement de jeu pour les Coty d'Or.

    Voici donc les réponses de Jonathan qui aurait proposé Shadow Hunters et de Florent qui propose Above and Below.

    Qu'est ce que vous aimez dans le jeu ?

    J : J’aime bien jouer avec des gens, c’est le côté coopératif ou un petit peu, comment dire, justement qu’il va y avoir de la rivalité. On va pouvoir affronter certaines personnes et c’est un domaine où tout le monde est égal, tu ne pars pas plus gagnant qu’un autre. C’est vraiment que tu pars sur un pied d’égalité et c’est vraiment convivial et amusant.

    F : Alors c’est très compliqué de répondre à cette question parce c’est comme demander qu’est ce que t’apprécies dans le cinéma. Bon, moi j’aime bien, un peu comme Benjamin, j’aime bien les jeux qui stimulent l’imagination, qui font voyager. Et puis j’aime bien le mélange des cerveaux : les jeux qui font réfléchir un petit peu mais en même temps qui m’entrainent ailleurs. J’aime bien aussi les jeux qui permettent de construire quelque chose au fur et à mesure de la partie. D’avancer petit à petit et que le jeu au début de la partie ne soit pas le même que le jeu à la fin. Y a plein de choses que j’aime bien dans le jeu en fait. Disons que pour être plus simple, on pourrait dire que j’aime pas les jeux où j’ai pas à intervenir, des jeux qui se jouent tout seul, les jeux où ce n’est que du hasard, ça j’aime pas mais après tout le reste …  

    Pourquoi avez-vous (auriez-vous) choisi le jeu que vous présentez (auriez présenté) aux Coty d'Or ?

    J : Je pense que j’aurais proposé le jeu Shadow Hunters. J’ai découvert le jeu justement à l’asso, une fois on y avait joué avec tout le monde et j’ai acheté le jeu et j’y ai rejoué pas mal de fois avec ma bande de potes. Et franchement c’est un jeu où il faut quand même réfléchir parce que tu as identité, tu essayes de te faire passer pour quelqu’un tout en te faisant passer pour toi-même, tout en te faisant repasser pour quelqu’un d’autre et t’essayes d’embrouiller les esprits et franchement c’est trop bien, c’est trop marrant.  

    F : Même si ce n’est pas forcément le jeu que je préfère dans ma collection, c’est un jeu qui rassemble ce que j’aime où il faut quand même établir un petit peu ta stratégie pendant la partie ou il faut gérer tes ressources etc, mais l’aspect narratif qui est quand même très présent fait que tu peux même te retrouver au cours de la partie à oublier complétement l’envie de gagner et aller explorer juste pour le fun. C’est un jeu qui fait un peu la synthèse de pas mal de choses, de plusieurs genres, et ça j’aime bien aussi. Et puis j’ai pris aussi parce que c’est un jeu qui est simple, et donc comme il fallait que tout le monde y joue, comme c’est plus facile d’accès c’est plus cool. Et puis aussi parce que Vincent est très persuasif (rires).    

       

  • Séance du 3 décembre 2021

    Ce vendredi nous sommes 5 à venir jouer : Aurore, Benjamin, Florent, Mickaël et moi.

    Nous nous divisons en deux tables.

    Avec Mickaël, nous commençons par une partie de Red Rising. Nous devons nous créer la meilleure main possible tout en faisant progresser notre petit vaisseau, notre stock d’Hélium ainsi que notre influence. Le matériel est magnifique : les cartes sont toutes différentes avec des illustrations superbes. Le jeu est très déstabilisant parce qu’on ne sait vraiment pas par quel côté prendre la bête mais quand on commence à y voir un peu plus clair, ça devient bien agréable. Gentiment, Mickaël me laisse la victoire pour ma première partie (et en plus j’aurai plus besoin de lire les règles à la maison #cesttellementmieuxdesefaireexpliquerunjeu).

       

    Nous enchaînons avec Everdell, là aussi le jeu est toujours aussi fluide et agréable. Le connaissant tous les deux, la partie se lance très rapidement. Les tours se succèdent et le village prend forme. Mais malgré tous nos efforts, nous n’avons toujours pas eu la joie de voir la reine (Jonathan et Florent pourront compatir). La partie se termine avec quelques points d’écart.

       

    Nous continuons avec une partie du deckbuilding Shards of infinity. Bon, soyons honnête, j’ai pris cher !! Mickaël dira que vu le choix de ma faction qui se soigne tellement qu’elle devient pratiquement immortelle au bout d’un moment, il devait taper fort. Et clairement il l’a bien fait ! Je ne suis même pas sûr de lui avoir fait perdre 10 points de vie :)

       

    Nous terminons (eh oui 4 jeux en une soirée !!!) par Mots malins, le super jeu que je n’ai pas trop réussi à expliquer la dernière fois dans lequel on essaye de faire deviner des coordonnées en donnant des mots indices. J’ai bien conscience que ce n’est toujours pas clair mais vraiment le jeu est topissime !

       

    A côté, Aurore, Florent et Benjamin jouent à Iki. Bizarrement ce matin j’ai reçu une lettre que je pense vous trouverez très intéressante :

    Monsieur Coplo,

    Je me permets de vous contacter au nom de l’AMMPJ (Association des Meeples Malmenés Pendant le Jeu) pour vous alerter sur la triste condition des meeples du jeu Iki.

    Avez-vous conscience du sort de ces pauvres personnages de bois dans ce jeu de gestion ? Et si oui, comment osez-vous vous regardez dans le miroir le matin ?

    On les force à avancer constamment, leur jetant des sandales pour qu’ils marchent plus loin.

    On les nourrit à peine, parfois avec de la paille, oui monsieur, de la paille ! J’ai même entendu parler d’un meeple qu’on a laissé mourir de faim. Ce meeple était père de famille et un membre très actif de sa communauté qui n’hésitait jamais à mettre ses bras collés à son corps au service des autres.

    Les échoppes de leur jeu sont rackettées et si elles ne produisent pas assez, on les brûle.

    Je vous en prie, monsieur Coplo, faites votre maximum pour stopper ces agissements.

       

    Il ne me reste qu’à vous souhaiter de passer une bonne semaine et que René Coty soit avec vous.

     

     

  • Grégor et Stéphane

    Quatrième semaine des Coty d’Or (j’ai pris un peu de retard, dsl)

    Aujourd’hui, je vous mets en ligne l’interview de Grégor qui présente Azul et celle de Stéphane qui présente Meadow

    Qu’est ce que vous aimez dans le jeu ?

    Grégor : Il y a le challenge, mais c’est surtout pour le coopératif, je commence à bien aimer. Pour le compétitif, c’est de savoir que j’ai des chances de gagner mais pas tout le temps, ça ne soit pas défini., qu’il y ait une part de surprise.

    Stéphane : Alors dans un jeu déjà un thème qui me plait. Après une mécanique. Et après surtout l’esthétisme. Plus c’est beau, mieux c’est. Faut prendre du plaisir en fin de compte. Mais vraiment en premier je mets le thème, soit histoire, soit nature, soit zombies (rires) on passe d’un truc à un autre (rires). Après de pouvoir partager ça avec d’autres personnes parce que faut pas que ça soit trop compliqué, faut que les gens puissent comprendre le jeu. Parce que souvent à la maison on a des gens qui ne sont pas experts en jeux alors faut qu’ils arrivent à pouvoir prendre du plaisir aussi. C’est le plaisir en groupe. Si on est tout seul à jouer et puis qu’on est le seul à prendre du plaisir dans le jeu, ça va pas. Faut que ça se communique

    Pourquoi avez-vous choisi le jeu que vous présentez pour les Coty d’Or ?

    Grégor : Entre autres, pour le côté indéfini. J’ai beau essayé plusieurs fois, j’arrive toujours à me faire battre ou à gagner parfois. Les deux arrivent. Et puis, il a été primé et ça faisait longtemps que je ne l’avais pas sorti, je ne l’avais jamais sorti ici, ça fait découvrir.

    Stéphane : En fin de compte, le thème de la balade me plait. On n’est pas dans la concurrence, on fait son petit truc de son côté et y’a pas à essayer de faire des points plus que d’autre même si c’est ça le jeu. On oublie ça. Et je l’avais découvert et je trouve que, là en ce moment, c’est mon jeu favori.

       

  • Séance du 19 novembre 2021

    Troisième séance des Coty d’Or. Ce soir, nous testons les derniers jeux présentés.

    Florent, Benjamin et Vincent jouent à Above and Bellow. Le village dans lequel ils vivaient paisiblement a été ravagé par des barbares et ils doivent maintenir repartir de zéro. Pour cela, ils vont recruter des ouvriers, construire des bâtiments et surtout aller explorer les grottes afin d’y découvrir des merveilles … ou pas !!! Le jeu est un mélange entre jeu de gestion et jeu narratif dans lequel il faut bien gérer ses ressources et ses villageois (surtout en cas de malchance aux dés). Je ne peux vous dire qui a gagné mais la partie semblait bien disputée.

          

     

    A côté, Aurore, Grégor, Stéphane et moi commençons la soirée par Azul. Dans ce jeu très stratégique, nous devons d’abord sélectionner les morceaux de mosaïques sur des petits plateaux et les disposer dans un certain ordre devant nous. Ensuite, nous remplissons notre mur en marquant les points en fonction des lignes et des colonnes formées. Au début ça va, on gère facilement, peu importe ce qu’on prend, on arrive toujours à le placer. Mais plus la partie avance, plus ça se complique : les tours s’agrandissent, ça calcule, ça râle (« Mais pourquoi tu m’as pris mes bleus ? », « C’est pas possible ! Comment je termine ma ligne moi ?? ») et puis ça score beaucoup plus (enfin surtout si on a bien compris). Aurore pulvérise les scores.

       

     

    Nous enchaînons avec une partie de Meadow. Alors le thème est complétement différent mais là aussi nos cerveaux ont bien chauffé !!

    Pour créer une ambiance sonore, je vous propose de lancer cette vidéo puis de revenir à votre lecture.

    Nous sommes des randonneurs et nous devons profiter un maximum de la belle nature qui nous entoure (clairement ce côté contemplatif se ressent bien dans le jeu) pour cela nous allons placer des cartes terrains sur lesquelles vont venir ajouter des insectes, des oiseaux, des rongeurs, … Au fur et à mesure des huit tours, le paysage devant chaque joueur prend forme. Aurore (très en forme cette séance) et moi partageons la victoire. Petit bonus du jeu que je trouve très sympathique : vu que nous avons réussi à placer 5 grands prédateurs, nous avons pu ouvrir une petite enveloppe contenant de nouvelles cartes.

       

    Voilà pour cette semaine.

    On se revoit vendredi prochain.

    D’ici là, portez vous bien et surtout que René Coty soit avec vous !

  • Benjamin et Sylvain

    Deuxième semaine des Coty d’Or.

    Aujourd’hui, je vous mets en ligne l’interview de Benjamin qui présente Iki et la mienne avec Everdell.

    Qu’est ce que vous aimez dans le jeu ?

    Benjamin : Je pense que c’est avant tout l’évasion du quotidien, c’est un peu ce que je recherche dans toutes mes passions. Le fait de partir dans un univers, de réfléchir à des stratégies et se changer les idées, en général, avec des gens.

    Sylvain : J’adore les jeux où tu construis un moteur (surtout les deckbuildings) parce que c’est tellement réjouissant de voir que ce que tu mets en place fonctionne bien. En plus, ce sont souvent des jeux très fluides dans lesquels tu as très peu d’actions et où les tours se succèdent très rapidement, ce que j’apprécie beaucoup également. Il faut aussi que les règles du jeu soient simples (parce que sinon j’en oublie une ou deux) et qu’on puisse vite se mettre à jouer.

    Pourquoi avez-vous choisi le jeu que vous présentez pour les Coty d’Or ?

    Benjamin : J’ai choisi Iki parce que tout d’abord la thématique du jeu me plaisait beaucoup (j’ai une affinité avec le Japon), des très bonnes critiques sur le jeu et l’envie de tester ce jeu avec les gens de l’asso pour voir ce qu’il avait dans le ventre.

    Sylvain : J’adore la direction artistique d’Everdell, je le trouve vraiment magnifique. Le problème c’est que je suis capable d’acheter un jeu juste parce que je le trouve beau sans vraiment savoir ce qu’il vaut vraiment (Naruto est un très bon exemple pour ça, Benjamin et Jonathan pourront confirmer) du coup j’ai aussi choisi Everdell parce que les retours du monde ludique étaient excellents et qu’en le testant avec Annabelle il rentrait dans les critères « fluide, rapide et facile à expliquer, en français, assez profond pour plaire à un maximum de joueur ».

    Merci à Benjamin d’avoir réduit sa pause du midi pour répondre à mes questions.

    On se voit vendredi !