Association de jeux de société à Ferrière-la-Petite

  • Séance du 26 avril 2019

    Des dragons, des artefacts surpuissants, des marchands véreux, une civilisation à bâtir, vous ne rêvez pas, voici Jouer (le vendredi soir à Ferrière) Club, le résumé de soirée – cinquantième épisode.

    Pour cette séance, nous nous retrouvons à 7 joueurs. Pas de chance pour le thème « 2 joueurs », ce n’est que partie remise (proverbe qui sied bien à un club de jeux !!)

     

     

    D’un côté Audrey, Benjamin, Grégor et moi faisons une partie de Res Arcana. C’est tout de suite plus facile de parler d’un jeu quand on y a joué. Je peux maintenant vous dire que ce jeu a une marge de rejouabilité et d’apprentissage énorme. Ici pas de pitié entre les magiciens, on s’envoie nos dragons, on prend les monuments avant que d’autres le fassent. Parfois, c’est Noël : on donne plein de ressources à tout le monde mais il ne faut pas se leurrer : si on le fait, c’est que ça nous avantage. Point de bienveillance entre mages. Benjamin remporte la partie avec une belle marge (même si humblement il soutient que nous aurions pu facilement le rattraper).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Yvan, Florent et Vincent font une partie de Trieste. Trois camps s’opposent : les marchands, les voleurs et les gardes de la ville. Il faut sans cesse gérer l’équilibre entre les trois groupes. Vincent, en bon marchand, remporte la partie (lui aussi humblement clame qu’il a juste eu un coup de chance).

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je quitte la séance au moment où Benjamin et Audrey entament une partie de 7 Wonders Duel tandis qu’ Yvan, Grégor, Vincent et Florent débutent une partie d’un autre jeu qui, au moment où j’écris ce texte, m’est inconnu.

    Voilà pour cette semaine.

    On se retrouve vendredi prochain.

    Bonne semaine et que René Coty soit avec vous.

    Ciao

     

     

     

     

     

    PS : La chanson de cette semaine est un morceau de Gorillaz pour les deux gagnants :

  • Séance du 20 avril 2019

    Une ville à sauver (deux fois), des vikings à gérer, une compétition de magicien, vous ne rêvez pas, voici Jouer (le vendredi soir à Ferrière) Club, le résumé de soirée – quarante neuvième épisode.

    C’est sans manteau, certains même en T-shirt, que nous nous retrouvons ce vendredi. Il n’y a pas à dire, l’été arrive !! (Summer is coming !!)

    Pourtant l’heure n’est pas à la fête. Les armes se préparent, les regards se tendent, la guerre approche.

     

    D’un côté Audrey, Florent, Yvan et Benjamin affutent leurs épées, décorent leurs drakkars, vérifient les stocks d’hydromel. L’hiver fini, le jarl lance enfin la période des raids ! Il est temps, les vikings commencent à s’impatienter et ça, ce n’est jamais bon. Pour sûr la côte a dû été pillée, les monastères brulés, les forteresses détruites. Mais qui a tiré son épingle du jeu ? Telle est la vraie, l’unique question à se poser. Malheureusement je n’en sais rien. Je peux juste supposer que c’est Audrey puisqu’elle gagne toujours mais ce n’est que des présomptions et je ne suis pas voyant (heureusement parce qu’il faut avoir la lèpre pour l’être).

     

     

     

     

     

     

    [Après publication du résumé, Benjamin m'a indiqué qu'il avait gagné la partie juste devant Florent grâce à la piste des Valkyries, donc effectivement je ne suis pas voyant.]

     

     

     

     

     

    De l’autre, Vincent, Grégor, Jonathan et moi vérifions nos recueils de sorts, stabilisons nos brèches, comptabilisons nos gemmes. Gravehold est encore en danger. La bête est à nouveau sortie et elle est prête à frapper. Malgré nos échos spatiaux, nos étincelles, nos orbes, nous faisons piètre figure face au monstre. Celui-ci, aidé de ses sbires, percent sans difficultés nos lignes et ravagent notre si belle ville.

    Un deuxième essai, sans moi cette fois-ci, permettra aux mages de redonner l’espoir. Oui la bête est forte, oui ses acolytes sont puissants, oui ses frappes sont dévastatrices, et pourtant, ET POURTANT on peut la vaincre (enfin surtout si on suit bien les règles (smiley qui fait un clin d'oeil tout en sachant que c'est clairement l'hôpital qui se fout de la charité) !!).

     

     

     

    Audrey, Florent, Yvan et Benjamin terminent leur soirée par un Res Arcana pouvant ainsi tester l’ultime rejouabilité de ce jeu qui pourtant tourne avec 8 cartes par joueur. Yvan gagne la partie ayant récolté le plus vite ses 10 points de victoire.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     Voilà pour cette semaine.

    On se retrouve vendredi prochain.

    Bonne semaine et que René Coty soit avec vous.

    Ciao

    PS : Pour faire plaisir à Jonathan, la chanson de la semaine parle du chemin que nous parcourons tous vers la victoire (enfin dans la chanson c’est plus une histoire d’amour mais vous comprendrez tous j’en suis persuadé)

     

    Si pas, celle-là devrait vous convaincre :

     

     

  • Séance du 12 avril 2019

    Des espions volubiles, des cartes numériques, de belles fleurs, de l’HORREUR, un fantôme en quête de justice, un zoo digne de Spielberg (« la montagne du jeu » en allemand), vous ne rêvez pas, voici Jouer (le vendredi soir à Ferrière) Club, le résumé de soirée – quarante huitième épisode

    The Mind, Codenames, Mystérium, Greenville 1989, clairement le mot d’ordre de la soirée d’hier est : « Essaie de deviner ce qui se trame dans mon esprit. » Avec plus ou moins de succès bien-sûr !

    Ce soir, nous accueillons Anaïs et Rémi, venus spécialement d’Avesnes sur les conseils d’Audrey, et Louis, venu du Valenciennois pour jouer avec nous. Ce qui fait que nous sommes 10 !! Il ne manque que Jonathan endormi paisiblement dans sa chambre.

    Benjamin, Audrey, Anaïs et Rémi vont enchaîner deux parties de l’excellent The Mind (niveau 5 atteint, pour une première c'est la classe !!) qui encore une fois prouve son accessibilité peu importe le type de joueurs que nous sommes puis une partie de Skull, jeu de bluff dans lequel il faut chercher des roses au milieu de squelettes.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Pendant ce temps, Vincent explique Codenames à Florent, Yvan, Grégor, Louis et moi. Le jeu est très simple et la recherche d’associations d’idées très plaisante même si parfois les mots donnés sont complétement à côté de la planche (euh de la plaque) et que tous les messages dans les bouteilles n’arrivent pas forcément à destination. Les bleus gagnent les deux manches mais les rouges ne déméritent pas puisque c’est à un mot à chaque fois que la partie est remportée.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Je rejoins ensuite la table de Benjamin pour y faire un Mystérium. Le courant passe très bien entre le fantôme et les médiums puisque nous trouvons à l’unanimité, en seulement 30 minutes, que c’est le cuisinier (je ne sais plus où ni avec quoi) qui a monstrueusement commis le meurtre. Nous enchaînons enfin avec Draftosaurus, jeu dans lequel nous draftons des figurines de dinosaures pour les placer dans notre zoo. Petit hic : un dé lancé nous indique dans quelle zone (contenant chacune 3 enclos) nous devons placer nos chères et tendres petites bêtes. Le jeu dure 15 minutes, c’est parfait pour combler un temps mort.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    A côté, les téméraires, les braves, les sans peur commencent une partie de Greenville 1989. Florent m’ayant expliqué le jeu, je comprends mieux l’engouement qu’il suscite. Nous sommes ici dans un Mystérium beaucoup plus narratif. Chaque joueur doit en effet décrire l’action de son personnage et un maître du jeu (qui change à chaque tour) doit chercher l’image qui correspond le mieux à la suite de l’histoire racontée. Malheureusement, comme dans Mystérium, on ne choisit pas les cartes qu’on pioche. Il faut donc tenter de rentrer dans la tête du maître du jeu pour savoir quelle image concorde avec quel personnage. Quand je suis parti, ça puait grave pour les joueurs mais peut-être qu’une magnifique licorne avec Batman dessus est venue les sauver, qui sait ??

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Benjamin et Audrey terminent la soirée sur un petit jeu sorti d’une boite verte mais je ne peux en dire plus.

    Voilà pour cette semaine.

    On se retrouve vendredi prochain.

    Bonne semaine et que René Coty soit avec vous.

    Ciao

    PS : La prochaine séance de Greenville, j’aurai ma guitare !!